C’est lorsque l’oisillon, d’sa voix d’crécelle,
Vient nous exploser les tympans, en plein réveil,
Qu’on s’dit qu’dormir sous l’poil d’un arbre,
Finalement … raz la barbe !
Mille excuses, j’laisse traîner mon pti derrière sur vot’ plancher. On m’a dit que les m’zelles chez vous, n’étaient comme nulles autres pareilles ! C’est de mon r’gard quelque peu tangent, que j’viens zieuter, si s’qu’on raconte n’est pas du flan !
Tavernier ! A boire ! Ou j’te fais la peau ! J’ai l’foie comme une éponge non imbibée d’eau !
Soit, paroles en l’air, d’un pauvre voyageur, d’un homme aux cent pays, d’un homme aux cent conneries … (Qui a mit ça dans mon script !)
J’me présente, moi c’est Junky … bouffon, bonne poire, martyr, faquir … pour vous servir
Vadrouilleur, patrouilleur, je signe et j’affirme, qu’avec un peu de bonne humeur, on vous redonne le sourire, le sourire du cœur …
Me v’la maintenant dans un vrai palace, mes d’moiselles, mes dames, veuillez prendre place, à chacune son charme, à chacune sa grâce …
Je m’permets donc, de vous saluer bien bas, bons hommes, et gentes dames, en espérant, que ma piètre présence en ce lieu, n’incommode point, la belle ambiance, qui règne ici.